Fleur d'amandier
Sans doute avons-nous besoin aujourd’hui de la poésie, plus que jamais. Afin de recouvrer notre sensibilité et notre conscience de notre humanité menacée et de notre capacité à poursuivre l’un des plus beaux rêves de l’humanité, celui de la liberté, celui de la prise du réel à bras le corps, de l’ouverture au monde partagé et de la quête de l’essence. - Mahmoud DARWICH
J'ai découvert ce poète palestinien, disparu en 2008, à l'occasion de la rediffusion jeudi soir sur France Culture, de son récital à l'Odéon Théâtre de l’Europe le 7 octobre 2007, avec Didier Sandre, Samir Joubran, Wissam Joubran.
J'ai été emportée par cette langue arabe que je ne comprends pas, mais qui berce comme une douce mélopée, et par les mots de Didier SANDRE qui disent la sensualité, la liberté, la subtilité de cet imaginaire, et qui, inlassablement, formulent les idées (les idéaux ?) de fraternité, de respect, de bienveillance et de paix.
Les recueils de Mahmoud DARWICH sont édités chez Actes Sud. Je vais certainement passer commande ...
Qui connaît ?